First Class and Free sit? [Amber]

Pourquoi Declan avait il cette impression de ne pas être a sa place ici? Devenait il un peu trop parano? Cela était fort probable. Etre le petit nouveau n'était pas quelque chose de tres facile, mais il fallait bien passé par la pour essayer de s'intégrer dans une société. A pensée que la communauté de la fac était une société bien évidemment. Le jeune homme avait toujours évolué dans le même genre de monde, sans réel surprise, ce monde guidé par l'argent et donc le pouvoir. Iici, il savait que cela allait être différent. Ce n'était plus Princeton, c'était l'Angleterre. Mais qu'y connaissait il a l'angleterre, lui, americain n'ayant mis les pied sur l'ile britanique qu'une seule et unique fois dans sa courte vie.

A princeton, la situation dans l'amphithéatre était quelque peu différente. Pour les cours réellement magitraux, il y avait un amphi qui était plein, et une seconde salle ou le cours était rediffusé pour ceux qui n'avaient pu avoir de place. De plus, la place que vous aviez allait de paire avec votre statut sur le campus, d'ou l'étonement de Declan en arrivant en Angleterre. Un nouveau n'aurait surement pas trouvé de place dans l'amphi, mais quelques semaines plus tard, une fois qu'il se serait fait connaitre, il en aurait surement eu une plutot bbien placé. Votre statut se faisait sur divers critéres: le compte en banque de vos parents, vos affiliations avec des gens celebres et qui peuvent etre des donateurs de l'université, votre degré de "fétardité" et pour les garçon, en général, sur le tableau de chasse éventuel. Declan était quelqu'un de tres connu la bas, ici il n'était plus personne.

Le jeune homme s'assuit donc la derniere place libre de l'amphi. Ici, il s'asseyait donc dans les escaliers? La situation aurait ésurement été comique si Declan avait du s'y assoir. Imaginez l'héritier d'une famille multimillionaire en dollars et neveu du président des états unis d'amerique qui devait s'assoir dans des escalier pour suivre un cours. L'abolition des priviléges dans toute sa splendeur, mais Declan avait pour une fois de la chance. Bien que le ton de la jeune femme lui ai parut assez froid, il lui répondit juste un :

- Merci.

La politesse était tout de même importante. Il venait d'une famille aisé, mais il avait tout de même des bonnes maniéres. Un courreur de jupon certain qui croyait quand même en l'amour et qui avait des bonnes maniéres, Declan était un concentré de paradoxes. Il sortit de son sac un bloc note ainsi qu'une trousse contenant tout et n'importe quoi: des stylos, des cryans de papier, des bout de papier avec des numéros de téléphone, un bipeur, une carte de visite d'un ami de son oncle diplomate. Il posa cette trousse aux merveille sur le peu d'espace qu'il avait devant lui. Il n'avait pas prit son ordinateur portable, il préférait prendre des notes en cours et les recopier le soir, comme ca, il avait l'occasier de travailler un peu.

Alors que le cours commençait a peine, il vit des étudiants encore arriver et s'installer dans les escaliers. Il prit un air surpris, et s'exclama a voix basse, mais légérement trop forte pour ne pas se fire entendre de sa voisine.

- On s'installe réellement dans les escalier ici?

Une lueure d'étonnement glissa dans les yeux sombres du jeune homme. C'était clair, il n'était plus a Princeton.

Etre un gosse de riche avait ses bons et ses mauvais coté. Ok il y en avait peut être plus de bon que de mauvais, mais ce n'était pas cela l'important. En général, on voyait les héritiers de familles aisées faire leurs interessants, se vanter a tout bout de champs, en rajouter sur tout ce qu'ils disaient. Ce n'était pas vraiment le cas de Declan qui avait réussi a rester aussi normal que possible. Il n'avait jamais connu les difficultés, mais comprenait que ne pas avoir suffisament de moyen pouvait être un probleme. Il n'allait pas rabaisser les gens qui n'étaient pas comme lui, cela n'aurait servi à strictement rien. D'ailleurs, à Princeton, Declan avait des amis beaucoup moins fortunés que lui, et cela ne lui posait absolument aucun probleme. Ce qu'il ne supportait réellement pas, c'était ceux qui était la juste pour son argent, ou son statut de neveu du président. Eux, il ne pouvait pas les voirs, mais parfois faire le tri dans ses fréquentations est plutot dur.

A Londres, s'il ne divulgait pas son secret, il n'aurait pas à gérer ce probleme au moins. Ce serait deja une bonne épine sociale qu'il s'enleverait du pied. De plus, il avait un caractére assez entier. Il pouvait tres bien entendre vos arguments, mais rester sur ses positions autant de temps qu'il le souhaiterait mais néammoins, il était un ami fidéle a qui l'on pouait raconter pas mal de chose sans crainte que le campus entier l'aprem. Son seul défaut, si cela pouvait être considéré comme tel, était qu'il était un coureur de jupon, qu'il avait un tableau de chasse impressionant a Princeton. Il croyait en l'amour, mais tant qu'il ne l'avait pas trouvé, continuait de se comporter de la sorte.

En voyant tous ces étudiants qui étaient assis dans les escaliers, Declan se dit qu'il devrait tout faire pour arriver à l'heure en cours. Ah Princeton... Il faudrait qu'il pense a prendre des nouvelles de ses amis restés la bas. Il remarqua que la jeune femme lancait des coups d'oeils a tout le monde, regardant visiblement si ils avaient commencer a suivre le cours. Si elle était aussi tête en l'air que lui, ils allaient bien s'entendre... Pour le petit exemple, un jour Declan devait prendre l'avion pour rentrer de miami la ou il était aller voir un concert qui ne passait pas à New York. Le jeune homme avait réussi a oublier de prendre son billet d'avion avec lui, le laissant avec de l'argent pour le pourboire du taxi. Oui, dans le genre doué, Declan l'était bien.

- Tu veux de quoi écrire? Ce ne serait que justice vu que tu m'a laissé m'assoir la ^^

Declan avait un beau sourire. Il ne connaissait personne ici, donc évitait de commencer à juger les gens. La mentalité semblait être totalement différente de ce qu'il avait connu auparavant, et il n'en était pas mécontent. Le changement était une forme de progres, et il n'était pas contre. Il fallait bien aller de l'avant, cesser de regarder vers l'arriére. C'était la le principal défaut du jeune homme, il avait du mal a tourner la page, toujours a ce souvenir de ce qui s'était passer, c'était pour cela qu'il aurait surement du mal a oublier ses chérs USA.

- Flemmards et Fetards? Je ne vais pas trop me sentir dépayser en fait.

Cette université était la meilleure de londres d'apres le diplomate qui travaillait dans la capitale anglaise. Declan ne l'avait en aucun cas choisi, de toute maniére, il n'aurait pu choisir vu qu'il ne connaissait absolument rien a Londres. Il avait du faire des confiances a des personnes qu'il ne connaissait pas, et ne savait malheureusement pas ce que ca donnerait...

Etre tête en l'air ou ne pas l'air, le montrer ou le garder pour soit, tout ceci n'était qu'affaire d'apparence. Tout comme le fait que Declan soit un gosse de riche. Parfois dans New York, il lui était arrivé de se promener comme un simple touriste, prenant des photos des batiments qui l'entouraient et qui le faisait se sentir tout petit. Il aimait se fondre dans la masse pour une fois, ne pas être celui a qui on ouvrait la portiére de la voiture ou celui a qui on disait " Bonjour Mr Chambers". Il aimait être un anonyme, mais il avait été élevé dans un tout autre style d'esprit. Il ne possédait pas de vetements a moins de cent dollars par exemple, mais ce n'était pas vraiment l'extérieur qui indiquait ce qu'on était a l'interieur si? Seul nos actions comptent.

Declan était perdu dans ses pensées, repensant a ce qu'avait été sa vie a une époque. Ce temps n'était pas tres lointain mais pourtant il s'effacait deja dans ses souvenirs comme pour faire de la place à de nouveau, ceux de londres? Il se devait de bien s'y sentir, et s'il devait au bout de quelques mois reprendre le jet de ses parents et s'en aller, il voulait garder des souvenirs des gens qu'il aurait rencontrer ici. La vie était trop courte pour qu'on élude des parties entiéres de sa vie, Declan l'avait bien compris. Il se dit qu'au fond, si l'on ne profitait pas de rencontrer de nouvelles personnes, cela ne servait a rien d'avoir de belles occasions de découvrir le monde, même si c'était pour de mauvaises raisons. Le jeune homme se sortit de ses pensées en entendant la voix de sa voisine:

- Ne t'inquietes pas, on est deux au moins ^^

Amber, ce prénom ne disait rien a Declan, en même temps, il avait eut la majorité de ses one nights ou de ses amis en Amérique. L'angleterre et donc l'europe étaient un nouveau continent pour lui. La nouveauté a du bon non?

- Enchanté.

Sur un campus ou même au sein d'une université, les rumeurs allaient extremement vite a se propager. Qu'elles soient véridique ou bien totalement fausses, il n'y avait pas de différence tant que l'on pouvait parler sur le dos des autres. En tant que nouveau, Declan ne connaissait pas vraiment les rumeurs qu'il pouvait y avoir dans cette université, mais s'il se faisait rapidement un bon nombre d'amis, il serait vite mis au courant de tout ce qu'il se passait. Une vie privée pouvait difficlement être gardée dans ces conditions mais personne ne pouvait rien y faire tant le bouche à oreille était puissant.

- Princeton était réputé comme vraiment pour eleves studieux, mais le campus était assez... animé disons. Je pense que je vais bien me plaire ici ^^

[HJ: post pitoyable, toutes mes excuses.]